Monsieur le ProfesseurHerr Professor
KnatschkeKnatschke
estist
mathématicien.Mathematiker.
Il estEr ist
toujoursimmer
distraitzerstreut
etund
pas du toutgar nicht
pratique.praktisch.
Un soirEines Abends
en hiver,im Winter
il renditmachte er
visiteeinen Besuch
au Dr Schulz.bei Dr. Schulz.
Il lui apportaEr brachte ihm
ses imagesseine Bilder
d’Afrique,aus Afrika,
etund
les amisdie Freunden
parlèrentredeten
devon
leursihren
voyages.Reisen.
Le dialogueDas Gespräch
duraitdauerte
déjàschon
quelqueseinige
heures.Stunden.
SoudainPlötzlich
le Professeur ditsagte der Professor
— Oh,— Oh,
déjàschon
onzeelf
heures,Uhr
je doisIch muss
bientôtbald
rentrer à la maison.nach hause gehen.
— Mais— Aber
maintenantjetzt
vous ne pouvez paskönnen Sie nicht
partirgehen
répondit le Dr. Schulz,antwortete Dr. Schulz,
il pleutes regnet
fort,stark,
etund
il faites ist
vraimentwirklich
froid.kalt.
Vous savezWissen Sie
quoiwas
Nous avonsWir haben
justementeben
une chambreein Zimmer
de libre.frei.
Restez dormirSchlafen »Sie
icihier
chez nousbei uns
— C’est— Das ist
trèssehr
aimablefreundlich
à vousvon Ihnen
dit le Professeur Knatschke,sagte Professor Knatschke.
maisaber
je ne peuxich kann
malheureusementleider
pasnicht
rester.bleiben.
DemainMorgen früh
je doismuss ich
être à l’Université.in der Universität sein.
— Vous pouvez— Sie können
sans autreruhig
passer la nuit icidie Nacht hier verbringen
ditsagte
l’ami.der Freund.
Je vous conduis demain matinMorgen früh fahre ich Sie
à l’université.zur Universität.
— Bien— Gut
réponditantwortete
le Professeur,der Professor,
alorsdann
je dorsschlafe ich
chezbei
vous.Ihnen.
Dr. SchulzDr. Schulz
conduisitführte
son amiseinen Freund
dans lains
chambre d’ami.Gästezimmer.
— S’il vous plaît— Bitte
dit-ilsagte er,
icihier
vous êtessind Sie
chez vous.zu Hause.
DormezSchlafen Sie
biengut
MonsieurHerr
le Professeur.Professor.
Monsieur SchulzHerr Schulz
etund
sa femmeseine Frau
écoutèrenthörten
encorenoch
un peuein wenig
la radio.Radio.
DehorsDraussen
il pleuvaitregnete es
toujours,noch immer,
maisdoch
dans la cheminéeim Kamin
brûlaitbrannte
un feu.ein Feuer.
SoudainPlötzlich
on sonna à la porte.läutete es.
QuiWer
ça peut êtrekann das sein
pensaitdachte
Dr SchulzDr. Schulz
etund
ouvritöffnete
la porte.die Tür.
QuiWen
voit-ilsieht er
làda
dans la pluieim Regen
Monsieur le professeur Knatschke.Herrn Professor Knatscke.
— Mais— Aber
MonsieurHerr
le Professeur,Professor,
quewas
faites-voustun Sie
doncdenn
làda
dehors ?draussen?
D’oùWoher
venez-vouskommen Sie
maintenantjetzt
demandafragte
l’amider Freund
tout étonné.ganz erstaunt.
ToutGanz
tranquillementruhig
le Professeur réponditantwortete der Professor
— J’ai— Ich habe
cherché mon médicament à la maison.von zu Hause meine Medizin geholt.
Il faut que jeIch muss
le prenne vraiment,sie doch nehmen,
sinonsonst
je ne peux paskann ich nicht
dormir.schlafen.